Après des siècles de lutte des institutions (politiques, religieuses, légales) contre les comportements d’adultère, que reste-t-il de cette politique aujourd’hui ?
Pas grand-chose, et heureusement …
Pas grand-chose …
Lorsque l’on sait que l’image de personnalités médiatiques peut être détournée au profit de campagnes de publicités qui vantent les mérites de sites de rencontres pour infidèles ?
Et heureusement !
- La situation antérieure n’était pas meilleure (surtout pour les femmes) !
La situation actuelle vaut mieux que celle de certains pays où les femmes s’exposent à des risques importants lorsqu’elles sont infidèles. - Une analogie qui vaut ce qu’elle vaut …
– Une politique uniquement sécuritaire ne règle pas l’insécurité. Une politique sociale / pédagogique est également nécessaire …
– De la même manière, une politique anti-infidélité ne règle pas la question. Une vision moins monothéiste du couple et de l’amour est peut-être nécessaire …
Autres remarques :
- Jusqu’où une politique de l’adultère doit-elle (peut-elle) aller ?
- En quoi l’Etat (les institutions) devraient-elles avoir leur mot à dire lorsque l’on est amené à faire des choix d’ordre strictement privé ?
- Quel est le prix de cette politique ? Le sacrifice de couples malheureux mais restent ensemble ?
A bien y réfléchir, l’idée de repenser une politique de l’adultère n’est pas forcément une tâche aisée.
Mais quelques idées simples et logiques peuvent peut-être servir de base …
A suivre …